envie de tout, envie de rien

bon voilà après trois jours non stop à se parler, et 3 jours non stop à travailler, ce soir ça ne va pas, je ne sais pas quoi faire de moi, envie de rien, envie de tout, envie d'heureuse, joyeuse, envie d'être triste, mélancolique. je suis toujours dans ma prison parentale, je dépéris lentement de l'intérieur, je pourris de l'intérieur, toutes les larmes que je ne verse pas sur me joues, je les verse sur mon coeur, et quand mon coeur est noyée, mes poumons deviennent deux immenses éponges, qui essaie de sauver ce qui peut encore être. je suis malheureuse et je le dis. vous ne pouvez pas savoir à quel point je me sens seule, tout simplement parce que je le suis, maintenant je pleurs, rien ne me retiens je pourrais être capable de tout, j'ai gouté a ce sentiment de peur de perdre qqun, ça ne mettait jms encore arriver, il est parti en boite et j'avoue que vu sa nature carpe diem ces temps ci, je l'ai perdu, de tte façon ct deja perdu mais là plus encore. Pourquoi je trouve pas ma place dans ce monde? à coté de ça ce vulgaire comentaire à faire sur cicéron, un mec bien mort, c'est le grain de sel coincé dans les trous de la salière. je vais pas mentir, je me suis attaché à lui, comment je ne sais pas, mais ça m'empoisone plus qu'autre chose. Il y a des coeurs heureux et des coeurs martyrs, hier soir sans qu'il le sache ça m'a blessé; je suis trop instable ces temps ci, j'ai regarder jeux d'enfants, j'aurais terriblement envie de regarder mon autre film préféré, mais je ne l'ai pas là. Connecte toi, non ne viens pas, que nos chemins se décroisent, oublie moi ---> voilà ce qui vient de me passer par la tête ya qqs secondes. je suis une éternel punie, j'en ai marre de paris, marre de la foule, marre de l'infférence, marre du chacun pr sa gueule, je veux de grands espaces, des gens souriants, demin j'irais me poser dans un café après les cours, je ne sais pas ou encore mais meme seule, fo bien ke je m'y habitue.